Dans une vidéo sur Facebook ce mardi la jeune femme raconte son calvaire qu’elle a vécu avec son compagnon alors qu’ils rentraient d’une soirée chez un ami. Elle déclare avoir été insultée alors qu’ils marchaient tranquillement pour rentrer chez eux. Son copain a voulu la défendre et les trois hommes ont commencé à le rouer de coups pour le plaisir.
« J’ai cru qu’ils allaient le tuer »
L’humoriste en larmes face à la caméra décrit comment ces trois hommes se sont acharnés et ils ont lynché son compagnon à coup de pied dans la tête. Munis de barres de fer, ils l’ont asséné de coups violents simplement pour le plaisir. Malgré ses nombreux appels à l’aide, le cauchemar a continué. Le couple a finalement été secouru par un homme venant de nulle part. Il les aurait mis à l’abri avant d’appeler les secours. Son copain a été hospitalisé, il a été blessé à la mâchoire et a perdu plusieurs dents. Une plainte a été déposée, mais selon la jeune femme, cela ne va pas servir à grand-chose. Son copain a frôlé la mort si personne n’était venu. La vidéo pleine d’émotions au cours de laquelle elle partage le sentiment de révolte, d’incompréhension de l’humoriste a bouleversé la toile.
La violence gratuite en hausse
La violence de tout temps a existé à travers les cultures, les classes sociales, elle resurgit toujours même si on cherche à la canaliser, la contenir. Aujourd’hui dans notre société, elle semble omniprésente. Impossible d’ouvrir un journal, la télévision, les réseaux sociaux sans qu’elle vous agresse en permanence.
- Violence à l’école, politique, familiale, collective, de la petite délinquance à la grande criminalité en passant par les débordements des manifestations, les attaques gratuites de passants, la violence est partout.
- Elle fait partie intégrante de notre quotidien.
- On meurt pour une cigarette, un regard, quelques pièces, une religion différente, une orientation sexuelle.
- La criminalité française s’est largement multipliée durant ces dernières années. Ce sentiment d’insécurité permanente ne cesse de grandir et la banalisation de la violence inquiète.
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